- Méthode Kabat
- Méthode parfaite
- Méthode Bobath
- Rééducation posturale Mézière
- Drainage lymphatique manuel Vodder
- Taping neuromusculaire
- Pompages
METODO KABAT[1].
Les indications: Kabat est né et s'est développé dans le contexte de neuroréhabilitation, mais ses techniques sont aussi très adaptées aux rééducation orthopédique. L'utilisation de cette méthode est optimale pour le renforcement et l'étirement musculaire, pour l'augmentation de la largeur de la plage de joint, pour la réduction de la rigidité et spasticité, pour la coordination e L’Équilibre.
La méthode Kabat est née en Californie en 1948 dans le Kaiser Centre de réadaptation de Vallejo de la collaboration entre le neurologue Herman Kabat et la physiothérapeute Margaret Knott, pour traiter les patients avec pathologies neurologiques. Actuellement, cette méthode est largement utilisée en Europe et dans les deux Amériques. Les Français l'appellent la méthode Kabat, les PNF anglo-saxon ou facilitation neuromusculaire proprioceptive. En Italie une variante appelée RMP avec Neurokinetic Facilitations-Concept est utilisée Kabat de Giuseppe Monari où RMP signifie Progressive Modular Rebalancing .
Kabat croyait que la connaissance était essentielle acquis par la recherche fondamentale ont été utilisés dans la pratique clinique. Sa méthode est le fruit de cette approche par pensée, donc il est né juste le base de l'intégration des connaissances neurophysiologiques avec la pratique clinique, de l'approche médicale neurologique avec l'approche de physiothérapie rééducative. Ces mariages ont conduit au développement de différentes techniques, que dans leur complexe, ils composent la méthode. L'utilisation de ces techniques vise le renforcement musculaire, à mesure que la gamme augmente articuler, à la réduction de la rigidité et de la spasticité, amélioration de la coordination e de’Équilibre.
Noel-Ducret propose la meilleure définition synthétique de cette méthode une phrase extrapolée d'un article de Viel E.[2] : « Utilisation de l'information source superficiel (tactile) et d'origine profonde (position commune, élongation des tendons et des muscles) pour l'excitation du système nerveux, qu'à son il y a du temps agir le…musculature ". Maintenant entrons dans les détails pour avoir une idée plus concrète du méthode.
Le physiothérapeute administre des stimuli au patient précis, contrôler l'intensité, la durée, la fréquence et l'emplacement en fonction de du but, pour faciliter la mise en œuvre d'un acte moteur spécifique. Ces stimuli, appelé FACILITATIONS en jargon, fournir des informations sensibles qui aident le système nerveux central à planifier et à exécuter le mouvement à son meilleur. Pour le CNS, l'information fondamentale à cet effet est ce qu'on appelle la proprioception . Il s'agit de la capacité de percevoir la position de son corps dans l'espace même sans support du vue. Les récepteurs qui contribuent à la proprioception e qui sont remis en cause par les stimuli de facilitation administrés par le je suis kinésithérapeute:
- Les récepteurs musculaires: les organes tendineux du Golgi qui se trouvent dans les articulations musculo-tendineuses et qui sont sensibles à la étirement des tendons, à la fois en raison de la mobilisation passive et de la contraction musculaire. je fusi neuromusculaire, sensible aux étirements musculaires statiques et dynamiques.
- Les récepteurs articulaire, présent dans les capsules articulaires ou les ligaments, qui communiquent le degré d'angulation dans lequel les différentes parties du corps sont situées entre elles à un certain moment.
- Les récepteurs cutanés, sensible au toucher et à toute déformation de la peau.
Ces récepteurs sont stimulés:
- Directement de contact des mains du physiothérapeute sur la peau du patient
- À travers le coaptation (ce qui signifie stimuler un’joint en compression), extrêmement utile pour induire la stabilité des membres.
- Avec l'application d'une résistance à mouvement (la position des mains du thérapeute est cruciale, dans ce constitue un véritable guide du sens du mouvement, c'est un oui il jouera dans le sens inverse de celui de la résistance appliquée). Là la résistance stimule le recrutement d'un plus grand nombre d'unités motrices dans le muscle.
- Avec le administration du stimulus d'étirement, ce qui provoque une courte contraction réflexe musculaire. Le kinésithérapeute demande simultanément au patient de faire une contraction volontaire dans direction opposée à celle du stimulus d'étirement. Cette contraction bénéficieront de la contraction réflexe initiale (causé par l'excitation de fuseau neuromusculaire dû à élongation) qui fonctionne comme une facilitation.
- Avec des stimulations de type auditif / cognitivo-verbal ("Commandement verbal"). Ceci est une indication résumé de la manière dont le patient doit effectuer l'exercice. Les le thérapeute explique d'abord au patient manière exhaustive de l'exercice. Au cours du développement, il utilise ensuite des spécificités commandes verbales, qui indiquent et stimulent un mode d'exécution spécifique: "ICI!", "DÉSHABILLER!", "POUSSER!".
- Avec des stimulations visuel (le patient doit suivre le mouvement que le membre effectue avec ses yeux dans l'espace).
Les différentes techniques proposées par la méthode de Kabat fournissent des méthodes spécifiques de intervention à utiliser de temps en temps en fonction des problèmes qui doit etre adressé: améliorer la coordination, équilibre, stabilité, là résistance, force musculaire, l'amplitude du mouvement, réduire l'hypertonicité.
Les principes neurophysiologiques sur lesquels ils reposent les techniques sont:
- La loi de l'intronisation ultérieure "par Sherrington. La contraction d'un muscle est plus grande lorsqu'elle est précédée d'une forte contraction de son antagoniste, si la deux contractions se succèdent sans intervalle de temps. On peut aimer ça améliorer, par exemple, un mouvement fléchisseur déficient d'un membre exploiter la force du mouvement opposé, ou l'extensoire.
- L'innervation réciproque. Il existe des circuits inhibiteurs au niveau médullaire qui le font cette, quand un muscle (agoniste) Oui contrats, son antagoniste libère[3]. On peut alors réaliser la relaxation d'un muscle provoquant la contraction de son antagoniste. Plus la contraction sera forte de l'antagoniste, plus la relaxation est grande ! Les mécanismes d'inhibition ils permettent un relâchement de la spasticité et facilitent l'exécution de l'acte au sujet.
- Irradiation: "LES des muscles forts sont utilisés comme démarreurs pour renforcer l'action de muscles faibles. (…) un muscle qui rencontre une forte résistance rayonne i ses frères moins vigoureux.[4]"
- Élongation prolongé. «Étirer continuellement un muscle spastique (mais sans brutalité), une diminution ou une élimination progressive de la spasticité. Les organes du Golgi, stimulé par une traction continue, produisent des signaux inhibiteurs qui, accumuler, Ils "dépriment" la tension musclé. Je viens d'appliquer la traction, je broches de moteur (fonctionnement rapide) stimuler la contraction; les La rétention de traction permet aux organes de Golgi (course lente) prendre en charge, et leur message inhibiteur surmonte le message animateur qui l'a précédé. [5]".
- La répétition du mouvement. Il a en conséquence, selon Pavlov, la formation de nouveaux intégrations centrales[6] établir (corticalizzazione).
- Somme spatiale stimuli: l'activation simultanée de plusieurs synapses excitatrices sur une le même neurone conduit à l'atteinte du seuil de courant qui permet la génération d'un potentiel d'action par le neurone, et donc le propagation du stimulus. Du point de vue de l'application pratique, cette pour nous, cela signifie que donner plus de stimuli en même temps nous permet améliorer la réponse motrice en augmentant le nombre de motoneurones impliqué. A cela il faut ajouter que l'intensité du stimulus augmente la réponse musculaire, donc aussi une modulation de cette intensité tombe parmi les outils à notre disposition pour affiner l'efficacité des exercices proposé.
- Somme de temps stimuli: des stimulations répétées augmentent la réponse motrice.
- Type de contraction. Contractions isométriques, isotonique concentrique et isotonique excentrique: les premiers sont contractions sans bouger les têtes articulaires, ce dernier avec approche et les dernières avec ablation des têtes articulaires. Le premier cas se produit par exemple lorsque nous tenons un objet lourd soulevé sans le déplacer. Les selon quand on soulève le sac de courses du sol, le troisième lorsque le nous nous reposons sur le sol. Ces trois types de contractions
Dans 1987 un physiothérapeute italien, Giuseppe Monari, après avoir suivi un cours PNF en Californie, introduit la méthode Kabat en Italie.
L'utilisation de cette méthode l'a conduit au fil des années à présenter leurs propres élaborations qui a conduit à la création d'une approche beaucoup plus complexe et articulé par rapport au modèle d'origine, beaucoup à justifier et à faire un changement de nom est nécessaire pour distinguer celles qui sont devenues des taupes fait deux modes d'intervention différents, tout en respectant les formulations initiales faisant référence à Kabat et à son groupe de travail.
Nous allons retracer les étapes qui ont conduit ici à l'actuel RMP-Elaboration du concept Kabat en prenant comme référence l'histoire de cette évolution du contenu dans l'introduction de l'édition de 2014 de «Rééquilibrage modulaire progressif, Elaboration du concept Kabat[7]"En G. Monari.
Monari nous parle d'une évolution précoce qui remonte à la années 1974-1980 dans lequel il a été identifié le’importance de la bi-articularité et de la mono-articularité complexe.
Un muscle biparticulaire est un muscle qui se situe entre ses têtes articulaire comprend deux articulations et par conséquent son action peut avoir effet sur les deux. Le rectus femoris, par exemple, peut agir comme un fléchisseur de la hanche et/ou comme extenseur du genou. Travailler en bi-articularité pour le rectus femoris signifie agir sur les deux articulations et donc diviser son travail sur ses deux éléments d'annonce par pourcentage adapté selon les besoins spécifiques de l'acte moteur que vous souhaitez effectuer. Monari appelle cette façon de travailler le muscle « fonction intelligente".
Devoir diviser sa force à la fois en amont et en aval dans le respect à sa longueur, le rectus femoris force d'autres muscles à y entrer aider à remplir les deux fonctions de la meilleure façon possible, de la flexion de la hanche (demander de l'aide au muscle psoas) et extension du genou (demander aide aux vastes muscles) et cette implication s'améliorera également avec le temps performance des muscles de soutien.
Le travail biarticulaire force le rectum à varier considérablement sa longueur et améliore ainsi sa propre élasticité. Si le rectum est exercé séparément uniquement comme fléchisseur hanche ou seulement comme extenseur du genou n'est pas obligé de se diviser leur travail intelligemment et cela nécessite une implication corticale (cérébral) de niveau de qualité inférieur et détermine un mineur effet de neuroplasticité. La différence de niveau d'implication corticale a été démontrée par doppler couleur transcrânien fonctionnel. Fonctionne aussi uniquement sur l'une de ses annonces il n'a pas besoin de variations particulières de longueur car celle dont elle a besoin est obtenue en l'étirant au niveau de l'autre annonce. Dans le travail en biarticularité le muscle part d'un raccourcissement maximum pour arriver à l'allongement maximum.
Par monoarticularité complexe, nous entendons le fait qu'un Le muscle monoarticulaire travaille simultanément dans ses trois fonctions: flexion-extension, abduction-adduction, rotations. De cette façon, il pourra atteindre l'état de raccourcissement maximal. Ainsi que le travail en biarticularité, même l'utilisation de monoarticularité complexe implique une plus grande atteinte corticale et donc plus grande neuroplasticité.
Une seconde évolution de la méthode a alors eu lieu entre 1974 et le 1980, quand la clé de l'interprétation a été identifiée dans les passages posturaux des capacités de recrutement de la malle dans ses quatre fonctions rotation, flexion, extension et inclinaisons. Les étapes posturales deviennent donc un outil raffiné pour évaluer les fonctions du tronc, mais en même temps, ils constituent également une plate-forme de base sur laquelle structurer les exercices thérapeutiques à proposer pour rééduquer composants du tronc qui sont déficients.
Compris entre 1978 et le 1986 il y a eu l'introduction de progressions pyramidales pour évaluer et intervenir spécifiquement sur les problèmes d'équilibre qui, comme connu, Et donnée par le rapport entre la largeur de la base d'appui et la hauteur depuis le sol du centre de gravité d'un corps. Travailler l'équilibre, c'est proposer au patient exercices fixés sur une variation ciblée de ces deux paramètres qui permettre progressivement au patient d'atteindre une position debout (où le la base d'appui est minimale et le centre de gravité à la hauteur maximale du sol) ayant combler les lacunes qui l'ont rendu impossible à réaliser ou qu'il ils l'ont rendu précaire. Par progression pyramidale, nous entendons tout cela progression des pas posturaux qui nous permettent de passer de la position couché (base de support maximale et hauteur minimale du centre de gravité) à l'emplacement ériger (ou de la position couchée, ou de la position couchée sur le côté). Évaluation de la façon dont le patient fait face à ces progressions pyramidales il permet d'intercepter le moment où les carences commencent à apparaître e donc d'identifier le niveau d'exercices à proposer et permet aussi de évaluer si le patient est capable d'atteindre la position debout et la je marche. Ce travail était fondamental car il nous a permis de dépasser un modus des opérations consolidées qui devaient exercer la fonction directement manque de l'améliorer: si le patient marche mal, laissez-le marcher e donc l'exercice s'améliorera. Ces études suggèrent le fait que il est probablement plus approprié d'identifier les carences en amont de la fonction déficientes et les réhabiliter spécifiquement afin de bien rétablir les fonction (par exemple le chemin).
L'importance a ensuite été soulignée élasticité musculaire pour qu'un muscle puisse exercer son meilleur pouvoir contractile. Un muscle qui a subi un raccourcissement est un muscle qui a perdu son élasticité. Plus la capacité d'un muscle à obtenir un allongement maximal et un raccourcissement maximal et plus le sa capacité contractile. De plus, un muscle raccourci limite l'action de son antagoniste car il agit comme un frein (quand un muscle contracte son l'antagoniste doit se détendre et s'étirer). Le raccourcissement musculaire aurait aussi un effet sur la sensibilité des fuseaux musculaires qui augmenterait l'excitabilité du réflexe d'étirement.
D'où le rôle central qui est attribué du RMP à la réalisation et à maintien des longueurs musculaires physiologiques dans tous les domaines, mais en notamment dans celui des pathologies neurologiques, puisque chez ces patients une altération est trouvée, ce qui facilite l'établissement de schémas pathologiques et peut nuire à la douleur dans le épaule qui peut souvent être rencontrée notamment par le patient hémiplégique: « … Le thérapeute d'abord encore pour faire face au "renforcement musculaire" doit se soucier des "longueurs muscle "". Par conséquent, une méthode d'évaluation de la les "vraies" longueurs musculaires, qui assure un contrôle efficace de la position des têtes articulaires lors de l'évaluation l'empêchant créer ces échappatoires du système que nous appelons "compensation".
Ce sont les principales innovations qui viennent indiqué dans l'écriture de G. Monari auquel je fais référence ici. Ils ne sont pas uniques mais je crois qu'elles sont suffisantes pour donner une idée de la base théorique de cette méthode et son potentiel de rééducation.
Méthode parfaite
Les indications: pathologies neurologiques du système nerveux central et périphérique qui entraîner des déficiences motrices ou sensorielles et des pathologies orthopédiques. L'utilisation de cette méthode est optimale pour la rééducation des proprioception et sensibilité tactile (qui ne sont pas seulement modifiés dans les pathologies neurologiques mais aussi dans celles du domaine orthopédique, dans surtout en cas de fractures et de chirurgie), pour la réduction e contrôle hypertonique, de l'irradiation et de la réaction anormale à élongation. L'intégrité de la proprioception et l'adéquation du tonus musculaire sont des conditions préalables fondamentales pour effectuer des mouvements fluides et fonctionnels.
Proprioception et mouvement
Nous avons dit que la méthode Perfetti est idéale pour les récupération des déficits de proprioception et de sensibilité tactile. Mais quoi qu'est-ce que la proprioception?
Une personne en bonne santé sait parfaitement, sans soutien de vue, la position de son corps dans l'espace perçu et la relation de ses différentes parties entre elles (tige, diriger, sens..). Si je veux prends un verre je dois évidemment le voir, mais je n'ai pas besoin de regarder ma main pour comprendre comment il doit se déplacer et comment il doit adapter le grip à la forme du verre. Cette perception de la son corps s'appelle proprioception. La conception et l'exécution de gestes fluides et fonctionnels nécessite une proprioception intégrale, qui au lieu de cela résulte altéré dans de multiples pathologies, est porté par le système nerveux central (coup, sclérose en plaques, Atassie, La maladie de Parkinson.) quel périphérique, mais également en cas de fractures ou d'interventions d'implants de prothèses articulaires. Les traitement rééducatif de la proprioception il est indispensable d'obtenir une récupération appropriée de la fluidité de la mouvement.
Les patients présentant des déficits proprioceptifs essaient de compenser spontanément cette déficience en utilisant la vue, qui chez les mammifères est un canal extrêmement informatif "Dominant" vis-à-vis des autres sens: ils regardent la main pour comprendre comment ils devraient déplacez-le vers le verre, ils regardent le pied pour comprendre comment ils doivent se déplacer La marche. De cette façon, cependant, ils réduisent leurs chances de récupérer des informations proprioceptives et donc de une mobilité plus physiologique.
L'un des objectifs du rééducateur sera donc de « Forcer » le patient à remettre en question les informations provenant de ces structures corporelles qui sont la clé de la proprioception (muscles, tendons, les articulations, peau) dont la personne en bonne santé bénéficie de manière «automatique», ignorant. Cela peut se faire par une première phase basée sur stimulation et récupération de ces canaux sensoriels e, en cas de pathologie du système nerveux central, sur l'acquisition du contrôle volontaire (corticale) suivie d'une deuxième phase de récupération de l'automatisme (sous-corticale) de l'utilisation des informations somatiques.
A la base de la Méthode parfaite il y a trois degrés d'exercices:
I° exercices degré
« Les exercices du premier degré ont pour but de permettre au patient d'avoir un contrôle satisfaisant sur réaction à l'étirement, les combler le déficit de sensibilité tactile e kinesthésique, aussi bien que recrutement d'un plus grand nombre d'unités motrices. Ils consistent en la demande d'attention vers les afférences appropriées, principalement kinesthésique e tactile, afin d'arriver à la vérification d'hypothèses perceptives adéquates proposé par le thérapeute à travers des aides adaptées[8].".
Pendant l'exécution de ces exercices, le patient doit inhibe tout type de contraction volontaire et doit se limiter à adapter le tonus musculaire du membre d'une manière de manière à permettre au kinésithérapeute de guider le mouvement. « Dans certains ces exercices, après avoir montré au patient une série de photos, le sien la main est guidée, inhibant toute contraction volontaire, suivre les contours des personnages eux-mêmes les yeux fermés, puis le patient pour identifier sur quelle figure de la série a été guidé le bras[9].". Pour pouvoir le faire correctement exercice dont le patient aura besoin:
- effectuer un analyse visuelle des chiffres qui sont indiqués.
- transformer le angles visuels des contours des figures en angles kinesthésiques ou en une idée/hypothèse du mouvement que son membre devra faire pour suivre le différents contours des figures elles-mêmes (hypothèse perspicace).
- Fabriquer une analyse des mouvements que le physiothérapeute fait exécuter à son membre (analyse kinesthésique), pour lui faire suivre les contours des figures. Cette analyse de la le mouvement est basé uniquement sur des informations proprioceptives.
- Comparer l'analyse kinesthésique du mouvement perçu par la proprioception avec l'idée/hypothèse de mouvement qu'il s'était créée à partir de la vision de contours d'image (Vérifier de l'hypothèse perceptive).
2e exercices degré
Dans ces exercices, qui visent à la contrôle de l'irradiation, « Le patient est invité à vérifier les hypothèses perceptives qui ne nécessitent le recrutement que de quelques unités motrices d'un petit nombre de muscles (..)[10]". Ce type d'exercice est essentiel pour amener le patient à « contrôler les contractions irradiées causées par le mouvement volontairement effectué[11].". Le patient à effectuer cela correctement l'exercice devra apprendre à moduler le recrutement musculaire pour effectuer une analyse kinesthésique en déplaçant activement le membre afin de pouvoir ensuite vérifier la hypothèses perceptives. Dans les exercices du 1er degré ce mouvement était guidé entièrement par le kinésithérapeute. Dans les exercices de 2e degré en fait le patient n'exécute activement qu'une partie de toute la trajectoire du mouvement, qui a lieu de toute façon avec le Facilitation du guidage manuel du thérapeute qui doit mesurer le sien intervention en évaluant la quantité de mouvement pour laisser activement le patient en fonction de sa capacité à contrôler l'irradiation. Les thérapeute, ainsi que le calibrage de la facilitation, doit également doser soigneusement la vitesse avec laquelle le mouvement est fait, en gardant à l'esprit que l'un des facteurs qui déclenchent l'irradiation est précisément la vitesse des mouvements. tous les exercices du premier degré peuvent être transformés en exercices du deuxième degré degré.
Exercices de 3e degré
Ils servent à aider le patient à mener à bien un processus de généralisation des trajectoires effectuées avec des exercices du premier et du deuxième degré lui laisser la possibilité d'exécuter un maximum de trajectoires e de la manière la plus fonctionnelle possible « en utilisant les informations qui arrivent de l'extérieur et de son propre corps uniquement pour réguler la spatialité, la temporalité et l'intensité du mouvement, tout comme le sujet sain, quand il faut apprendre une nouvelle performance motrice[12].". Il est possible de proposer au patient ce type de exercices que lorsqu'il en est venu à contrôler de manière automatisée (sous-corticale), par des exercices de premier et deuxième degrés, irradiation et réaction à l'étirement. Le contrôle automatique de ces deux paramètres permettent en effet au patient de se concentrer exclusivement sur évaluation de tout écart entre la trajectoire de mouvement requise par le kinésithérapeute et celui qu'il a pratiqué.
Control bénévole (corticale) et contrôle automatique (sous-corticale).
Dans les exercices du 1er et du 2ème nous assistons, comme nous l'avons vu, à une transition d'un contrôle volontaire de l'irradiation (exercices de 1er) et la réaction anormale à l'étirement (2ème exercices) à une commande automatique. En fait aussi l'apprentissage de nouvelles habiletés motrices dans des conditions physiologiques a lieu par une transition d'une première phase qui a lieu par le contrôle bénévole (corticale) de l'exécution de la tâche motrice à apprendre à un deuxième phase au cours de laquelle le contrôle de l'activité que nous exerçons s'effectue de manière "Automatique" (sous-corticale). Quand on apprend à conduire la voiture nous devons prêter attention de manière contrôlée à la façon de mettre les pieds freiner, accélérer, combien de force devrions-nous utiliser pour pousser la pédale, la direction dans laquelle déplacer le levier de vitesses pour changer de vitesse, à jusqu'où nous devons tourner le volant et dans quel ordre précis nous devons effectuer toutes ces actions uniques nécessaires pour mener à bien le guide. Et au début c'est très difficile et souvent la voiture s'éteint car on ne sait pas régler l'embrayage et l'accélérateur. Lorsque nous avons terminé le processus d'apprentissage, toutes ces actions nous courons automatiquement sans faire attention et nous pouvons discuter avec les passagers pendant qu'on réfléchit à l'itinéraire à choisir pour se rendre à la destination souhaitée.
En réadaptation, la relation entre l'information soumis à une analyse contrôlée et celui soumis à une analyse automatique est "Programmé par le rééducateur, de manière à permettre une progression allongement des sections de séquences activables avec un seul prise d'informations soumise à une analyse de type contrôlée[13].". Plus tard, le patient peut apprendre une passer de manière autonome de l'analyse automatique à l'analyse contrôlée pendant l'exercice, en utilisant ce que Perfetti appelle des "signaux d'attention". Oui il peut s'agir, par exemple, d'informations indiquant l'apparition d'irradiation. A titre d'exemple, l'année est indiquée dans position assise dans laquelle le patient doit étendre le genou pour suivre une ligne avec la plante du pied dessiné au sol. Le détachement du bord médial du pied du sol devient ici « Signal d'attention » pour passer à l'analyse contrôlée car c'est précisément indice de début d'irradiation[14].
Demander l'exécution de toute la séquence en avance de l'étape impliquerait une analyse contrôlée d'un certain nombre d'éléments ingérable. UNE un travail préparatoire bien structuré avant de pouvoir proposer une exécution si complexe. Perfetti suggère une clé dans le planification de ces travaux de réhabilitation ou l'étude de l'ontogenèse du mouvement : "(..) identifier complexes de recrutement structurés qui sont fonctionnellement utilisés par le l'enfant à des périodes spécifiques de maturation et qu'à des périodes tout aussi précis, en relation avec l'évolution cognitive, sont combinés entre eux afin de permettre des opérations de plus en plus complexes[15].”.
La répétition le codage ou l'acquisition stable et durable de nouvelles compétences.
Comme nous l'avons dit ailleurs, neurorééducation oui propose d'induire des changements durables dans le système nerveux central, ce que nous appelons dans le jargon "corticalisation". Parfait de ce point de vue, il parle du « codage de la répétition[16]". Cela consiste à proposer la répétition de l'exécution d'un régime, cependant, en insérant des "variations sur le thème": demander au patient de suivre le contour des demi-cercles de rayon les yeux fermés ascendant / descendant et demandez à les identifier. Cette approche, selon Parfait, il permet au patient d'identifier et d'apprendre non pas tant « un mouvement du jeu " mais plutôt " les règles du jeu " et faites-les vôtres (corticalizzarle).
En décrivant les trois degrés d'exercices de la méthode Perfetti J'ai évoqué plusieurs fois l'hypothèse perceptive. Voyons maintenant plus en profondeur de quoi il s'agit traite de.
L'hypothèse perceptive et le mouvement
Perfetti nous dit que devant "(..) au besoin de remplir une certaine tâche que le système nerveux central est obligé d'accomplir poser certaines hypothèses perceptives à vérifier et formuler une série de opérations interdépendantes susceptibles de conduire à l'acquisition de informations nécessaires pour valider ou rejeter, grâce à une comparaisons, comme supposé[17].". Pour arriver à soulever un sac du sol annonce Exemple, nous devons concevoir, basé sur une série d'hypothèses perceptives:
le mouvement d'approche à effectuer en fonction du distance, estimé visuellement (hypothèse perceptive), de la poignée de l'enveloppe de notre main,
le mouvement de la main pour faire la prise sur la base à la forme du manche (hypothèse perceptive) et son orientation dans le espacer (hypothèse perceptive).
la force musculaire à utiliser pour le soulever à la base à l'estimation que nous faisons sur le poids du sac (hypothèse perceptive).
Ce projet sera mis en œuvre à travers une série de opérations liées entre elles. Si lors de l'exécution du geste il apparaît que les hypothèses perceptives ne sont pas parfaitement adaptées et que, par conséquent, le « Projet » n'est pas parfaitement adapté à la tâche à effectuer, des « ajustements » appropriés de l'acte moteur interviendront au cours de sa l'exécution. Ceci est possible grâce à un système très raffiné de rétroaction qui permet au système nerveux central de savoir en temps réel ce qui se passe au niveau périphérique et donc de comparer en temps réel les "projet", développé sur la base d'un objectif spécifique, avec elle exécution.
La contraction du muscle n'est que le dernier anneau de une chaîne d'événements qui inclut la modulation de l'attention par rapport à toute une série d'afférences sensorielles du système nerveux central, informations principalement tactiles et proprioceptives, et sélection e mémorisation de ces informations fondamentales liées à cette précision contexte qui doit être comparé à des schémas préexistants pour élaborer les paramètres spécifiques de contraction musculaire pour cet acte spécifique moteur. Il est donc essentiel d'attirer d'emblée l'attention des patient vers "(..) ces structures qui permettent de programmer le caractéristiques de ce recrutement vers une hypothèse perceptive[18]". Dans ce contexte, les exercices du premier degré, qu'en une vision traditionnelle serait classée comme passive car non nécessitent une contraction musculaire volontaire, mais seulement une adaptation du tonus musculaire, ce sont en fait des exercices actifs car ils visent tout cela sphère des « actions » qui sont en amont du mouvement volontaire. Les exercices de premier degré obligent le patient à effectuer une analyse visuelle des formes et dériver les "équivalents kinesthésiques" ou, par exemple, transformer angles identifiés avec la vue en "angles kinesthésiques" qui renvoient à la sensibilité proprioceptive dérivant de l'information provenant du structures anatomiques impliquées dans le mouvement (muscles, tendons, les articulations, mignon). Le patient fait ainsi une hypothèse de ce qu'il devrait ressentir/percevoir en suivre les contours d'une figure plutôt que d'une autre. Quand le le thérapeute lui fera percevoir le contour des figures pour les identifier et les yeux fermés alors, il devra comparer son hypothèse kinesthésique (hypothèse perspicace) déduit de l'analyse visuelle avec ce qu'il percevra réellement. Là conscience de l'écart entre l'hypothèse perceptive et la réalité améliorera sa capacité d'analyse kinesthésique.
Bobath
Mézière
Drainage lymphatique manuel Vodder
Les indications. Pour une image complète des informations relatives à cette méthode, je me réfère au site officiel de l'école italienne de drainage lymphatique Vodder (http://www.linfodrenaggiovodder.it/metodo-originale-vodder). Dans ce contexte, je considérerai uniquement les indications relatives aux pathologies d'intérêt rééducation dans laquelle cette méthode peut être utilisée en association avec physiothérapie pour aider à réduire certains symptômes connexes.
- Pathologies affectées du système circulatoire: insuffisance veineuse, interrompant sa boiterie, troubles circulatoires affectant la microcirculation
- Pathologies sur le terrain orthopédique: traumatisme articulaire et musculaire, entorses, blessures au tendon, ligamentaire, résultats des fractures, interventions d'endoprothèse, syndrome Algodystrophie de Sudek, coup de fouet, arthrose, discopathies, lombosciatalgie, cervicalgie, syndrome de conflit affectant le’articulation scapulo-humérale
- Pathologies sur le terrain neurologiques tels que la parésie faciale et la sclérose en plaques
- Pathologies dans le domaine de la rhumatologie
La méthode Vodder a été conçue par Emil Vodder et son femme Estrid Vodder, tous les deux danois, et présenté et introduit par eux officiellement pour la première fois à Paris en 1936.
Cette méthode implique l'utilisation de mouvements en spirale ou lentilles circulaires à pression alternée qui oscille entre zéro et 40 Torr et qui a une action sur la peau et les sous-cutanés. Cette alternance de pression stimule je mécanorécepteurs des vaisseaux lymphatiques superficiels en augmentant leur motilité intrinsèques, ils sont dotés de, mais ces variations de pression ont aussi un effet "succion" qui favorise le déplacement de la lymphe de la liquide interstitiel vers les vaisseaux lymphatiques. Selon des études menées par Le traitement Vodder Schule avec la méthode Vodder n'a pas seulement un effet de drainage lymphatique, qui favorise la drainage des liquides et des déchets des tissus vers le système lymphatique améliorer les échanges métaboliques, mais cela a aussi d'autres effets importants:
- Sympatholytique. Le drainage lymphatique de Vodder diminue en effet le niveau d'activité du système sympathique nerveux (SNS). Le SNS fait partie du système nerveux dit végétatif aussi le système nerveux autonome (SNA) car il n'est pas soumis au nôtre contrôle volontaire. Le SNS est également appelé système de combat ou de vol car il s'active généralement pour répondre à situation de "combat ou fuite", lorsqu'il est nécessaire de réagir rapidement à une danger et y faire face ou s'en éloigner à temps. Sans entrer dans le spécifique au sujet, à partir de cette dernière définition on peut déjà de toute façon en déduire que l'activation du SNS doit avoir des effets activateurs et non activateurs calmant. Parmi ces effets, on trouve leaugmentation rythme cardiaque et des changements majeurs au niveau du système circulatoires qui diffèrent selon les différents districts du corps, libération de cortisol dans la circulation (mentionné aussi l'hormone du stress), augmentation tonus musculaire.
- Anti douleur. L'activation des récepteurs cutanés donnée par le massage inhibe, au niveau de moelle épinière, la transmission des signaux de douleur au système nerveux central.
- Immunologico. Ce n'a pas encore eu de démonstration scientifique à ce jour mais, selon les déclarations de la Vodder Schule, Et une amélioration des défenses immunitaires des patients a été trouvée traités qui se sont avérés moins dommageables.
- Réduction du tonus musculaire. Il a donc une action bénéfique sur les contractures (Date aussi de l'effet analgésique et du drainage des substances métaboliques déchets musculaires, y compris l'acide lactique).
enregistrement NeuroMusculaire
Les indications: rééducation orthopédique post-chirurgicale, neuroréhabilitation des pathologies a charge sur le système nerveux central et périphérique
La méthode du Taping NeuroMusculaire (Concept NMT) ".. utilise des stimuli de décompression et de compression pour obtenir des effets bénéfiques sur systèmes musculo-squelettiques, vasculaire, lymphatique et neurologique, visée fins cliniques et de réadaptation. Avec l'application de rubans, des plis se forment peau pendant les mouvements du corps qui facilitent le drainage lymphatique, favoriser la vascularisation sanguine, réduire la douleur, améliorer le amplitude de mouvement et posture musculo-articulaires. (…) L'enregistrement Le NeuroMusculaire est une technique non invasive et non pharmacologique, que par l'application d'un ruban adhésif et élastique aux caractéristiques particulières mécanoélastique offre une stimulation mécanique capable de créer de l'espace dans le tissus; favoriser le métabolisme cellulaire, activer les capacités naturelles de guérison du corps et normalisation de la proprioception neuromusculaire[19].".
Pompages
C'est une technique de la méthode Bienfait. Le pompage
c'est un mouvement que le thérapeute exécute sur différentes parties du corps pour
faire passer un segment du corps d'un état de tension à un état de
relaxation en les alternant avec un rythme régulier. Dans l'application de la
technique que nous devons considérer trois fois: la tension, l'entretien de
tension et détente. En variant le rythme et la tension, vous pouvez
obtenir des effets différents. Les pompages lents, par exemple, sont utiles pour
contractures car elles induisent une relaxation musculaire, pour le traitement de
rétractions musculo-fibreuses mais aussi pour
les articulations (Bienfait suggère une utilisation systématique dans
traitement de l'arthrose) pourquoi ne
réduire la rigidité qui limite la
mouvement physiologique. Les pompages ont également un effet bénéfique sur le niveau
circulation sanguine et lymphatique. Favoriser l'approvisionnement en oxygène e
l'alimentation des tissus et l'élimination des déchets qui dans le jargon
nous l'appelons catabolites et ils ont un puissant effet analgésique.
[1]Noel-Ducret F. Metodo à Kabat. Facilitation neuromusculaire proprioceptive. Encycl Méd Chir (Editions Scientifiques et Médicales Elsevier SAS Paris), Médicament Réhabilitation, 26-060-C-10,2001, 18 p.
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[2]Beaucoup E.. Utilisation des techniques neuromuscolaires proprioceptives pour la reeducation et l’éducation du geste sportif. Suisse Zeits Sport Medb 1985; 3:00-104
[4]E. Beaucoup de. La méthode Kabat. Facilitation neuromusculaire proprioceptif. Éditeur Marrapese. Roma. 1997
[5]E. Beaucoup de. La méthode Kabat. Facilitation neuromusculaire proprioceptif. Éditeur Marrapese. Roma. 1997. Pag. 113
[6]lieu
[7]g. Monari. Rééquilibrage modulaire Progressive. Elaboration du concept Kabat. Edi-ermès. 2013
[8]Pag 101
[9]Pag 70
[10]Pag 75
[11]Pag. 102
[12]Pag 104
[13]Pag 57
[14]Pag 58
[15]Puccini P. C parfait. Développement de système fonctionnel de la manipulation (analyse structurelle) PLUS SIMPLE 12, Résumés, 1981
[16]Pag 62
[17]Pag 44
[18]Pag 69
[19]David coup…